
Ma lettre au pape François
Le 24 mars 2013
Très Saint Père,
Quand vous avez fait votre première apparition publique et que vous avez demandé à la foule de vous bénir, j'ai fait la prière que vous entendiez ma voix et mon message.
Bien avant ma naissance, ma mère a fait le vœu de mettre ses enfants sous la protection particulière de la Vierge en faisant d'eux ses filleuls comme il est possible au Portugal.
Seulement, elle n'a jamais fait les démarches nécessaires auprès du clergé et ma grand-mère a pris Sa place sur les fonds baptismaux aux yeux des hommes.
Ma grand-mère était très pieuse. Elle connaissait le vœu de ma mère et ne se considérait que comme ma marraine « sur le papier ». Dans son cœur, ma vraie marraine était la Dame du Ciel, la Vierge, dont je porte le nom : Maria de Fatima.
Il faut croire que ce « marché » Lui a agréé puisqu'Elle m'a offert plus de dons et de bienfaits que le commun des mortels qui meurt de faim, de froid, souffre de la misère ou de la guerre.
Pourtant, le malheur est venu dans ma maison et il porte le nom de « vaccination ». Ma petite dernière est devenue autiste au fil du calendrier vaccinal. A cause de la cupidité et de l'ignorance des hommes, elle a été empoisonnée par des substances que je savais dangereuses pour la santé mais que j'ignorais être présentes dans les vaccins.
Rendez-vous compte : on lui a injecté du mercure, de l'aluminium, du formaldéhyde, du glutamate monosodique et tant d'autres poisons qui détruisent la vie de ceux qui les reçoivent. Sans oublier tous les microbes et résidus de fabrication souvent infestés par d'autres microbes, qui peuvent se révéler très virulents.
Si vous saviez comment sont fabriqués les vaccins, l'impossibilité d'avoir une produit vraiment sûr, la somme de vies sacrifiées pour ce produit douteux, vous seriez horrifié, car vous réaliseriez que cette pseudo-science porte atteinte à la Création de Dieu.
Ma fille est handicapée. On lui a volé son âme. Nous nous sommes efforcés chaque jour de lui en offrir une nouvelle pour qu'elle puisse vivre harmonieusement avec les autres.
Je suis rongée par la culpabilité car c'est moi, sa mère, qui ai tendu son petit corps aux piqûres assassines.
Pourtant, même ainsi, je sais que ma Marraine veille toujours sur moi. Le handicap de ma fille aurait pu être bien pire, elle aurait même pu mourir comme cela est malheureusement arrivé à Stacy, la fille de mes amis.
La Très Sainte Vierge m'a-t-Elle confié cette épreuve pour qu'on puisse dénoncer la pratique vaccinale ? Je ne sais. En tout cas, quand je mourrai et que je me retrouverai face à Elle, Elle ne pourra pas me reprocher mon inaction. Elle ne pourra pas me dire : « J'ai accepté les prières de ta mère et de sa mère. Je t'ai prise sous ma protection, Je t 'ai comblée de science et de conscience. Tu as appris que la vaccination était un crime contre l'Humanité, contre la Création entière. Tu as vu ces horreurs et tu n'as rien fait ? ! ».
Je ne sais ce qu'Elle me dira alors, mais je lui demanderai Pardon, pour ne pas avoir été assez forte et de ne pas avoir répondu à Ses attentes. Tout comme je demande pardon à ma fille de l'avoir involontairement empoisonnée.
Mon crime est grand et il me ronge. Je tremble de savoir que partout dans le monde, on est en train de détruire des vies avec ces produits inefficaces et dangereux. Mais je sais que le cœur de la Très Sainte Mère de Dieu saigne bien davantage devant cette aberration qui dure depuis quelques siècles.
Je crois fermement qu'Elle vous a envoyé un signe fort quand vous avez donné un baiser à Cesare Cicconi, lui-même devenu paralysé à la suite d'un vaccin polio.
En Son nom, au nom de toutes les mères qui pleurent leurs enfants, je vous demande d'entendre les victimes de la vaccination et de protéger la Vie. Je vous demande de dénoncer cette arnaque médicale, car il n'y a pas d'autres mots quand on regarde en face toutes les données scientifiques.
Que Notre Seigneur vous pardonne si vous ne prenez pas soin des brebis égarées par les mensonges de la vaccination.
Que Notre Dame ait pitié de vous si vous n'entendez pas Sa voix.
Qu'Ils me pardonnent si je n'ai pas trouvé les mots justes pour vous alerter et remplir ma mission auprès de vous.