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Bienvenue sur le site des cobayes qui se réveillent

Nous avons créé ce site pour témoigner de notre histoire et alerter les parents.

Nous avons mis au monde une jolie brunette que nous appellerons Bulle. Dès son premier jour, elle nous fixait attentivement. Mais peu à peu, sans vraiment comprendre la nature de ses bizarreries, nous l'avons vue sombrer dans l'autisme et nous entraîner dans cette spirale.

Une amie a eu le courage de m'alerter sur son comportement étrange et je ne la remercierai jamais assez car c'est un message difficile à faire passer. Moi-même, j'avais des doutes. Quelque chose clochait, je le sentais. « Autiste » ? Peut-être, mais ce n'était pas l'image que je m'en faisais. Bulle ne ressemblait pas à Raymond de Rain Man, ma seule référence. Je voulais en avoir le cœur net, j'ai fait une recherche sur Internet avec ce mot qui fait peur. Je ne pouvais pas me voiler la face, les symptômes de Bulle correspondaient aux premiers signes de l'autisme.

Aussitôt, j'ai pris rendez-vous avec le médecin qui, parcours classique du diagnostic de la maladie, m'a orientée vers un ORL pour vérifier son audition. Après des examens difficiles, il n'a rien détecté d'anormal. J'ai continué de mon côté à approfondir mes connaissances sur le sujet. J'ai visionné une vidéo « 11 minutes dans le monde de l'autisme ». Cela a été une révélation : je reconnaissais le comportement de ma fille à travers celui de ces enfants. J'en ai pleuré. J'ai culpabilisé de ne pas l'avoir vu plus tôt. Je savais, sans plus aucun doute, ce dont elle souffrait.

Il me fallait en savoir plus sur cette maladie pour l'aider efficacement. J'ai donc épluché Internet, visionné des reportages, commandé des livres, pris rendez-vous avec des psychologues, je me suis renseignée sur les différente méthodes. Jusqu'au jour où j'ai lu «  Autisme : une fatalité génétique ? » de Marie-Christine Dépréaux, qui fut ma seconde révélation. J'y ai appris que le mercure, dont je connaissais la toxicité pour être porteuse d'amalgames dentaires, était fortement impliqué dans la survenue de ce trouble. Pire, je découvrais qu'on mettait des dérivés de ce poison dans les vaccins. Mais ce n'était pas le seul, l'aluminium et le formaldéhyde, que j'avais éliminé de mon environnement car je craignais leurs effets nocifs, se retrouvaient dans les vaccins que mon médecin avait injecté à mes trois enfants. Tout cela m'a profondément choquée.

Fidèle à moi-même, j'ai encore approfondi mes connaissances. C'est ce long travail de recherche que je livre ici avec mes commentaires, pour que vous puissiez être mieux informés que moi et protéger vos enfants.

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